Audrey Hepburn

Edda Kathleen Van Heestra Hepburn-Ruston, plus connu sous le nom plus "Glamour" de Audrey Hepburn vient au monde - en souriant, soyons en sur - le 4 mai 1929 à Arnhem d'un père irlandais et d'une mère aristocrate hollandaise.

En 1935, elle part en Angleterre, en pension, où elle apprend la danse. De retour dans son pays en 1940, elle aidera très jeune la résistance hollandaise. En 1948, elle retourne en Angleterre avec sa mère, où elle continuera ses études de danse.

Sa silhouette très gracile et son air mutin la fait très vite se tourner vers le cinéma. Après un tout petit rôle dans un film anglais "De l'or en Barres", c'est dans un film français de Jean Boyer, "Nous irons tous à Monte-Carlo" qu'elle est cependant remarquée.

Après son arrivée à Broadway, elle est vite remarquée par Hollywood pour sa grâce et son humour. En 1951, elle tourne sous la direction de William Wyler "Vacances Romaines" avec Grégory Peck. Elle se compse un personnage de jeune femme mutine et provoquante, un peu fragile... Rôle qu'elle exploitera dans plusieurs production de l'âge d'or d'Hollywood : "Sabrina" de Billy Wilder, ce qui lui vaudra un oscar de meilleure actrice, "Drôle de frimousse" de Stanley Donen.

Dès 1960, elle entre dans un nouveau registre, amorcé avec le film de Donen : celle d'une jeune fille un peu fofolle, symbole d'une certaine "Dolce Vita" à la New Yorkaise : On pense bien sur à "Diamants sur Canapé" de Blake Edwards en 61 (musique de Mancini, où Audrey nous fera entendre une magnifique voix), à "Charade" de Donen, où à "Deux Têtes Folles" de Richard Quine, un summum de comédie romantique des années 60.

En 1964, elle tourne LE chef-d'oeuvre de Georges Cukor, et l'un des plus grand rôle d'Audrey Hepburn : "My Fair Lady". Puis, en 1970, à la naissance de son deuxième enfant, elle se retire des plateaux et tentera quelques come-backs pas très concluants : "La rose et la flèche" de Richard Lester est un bon film, mais Audrey n'y est pas vraiment. Son dernier film, "Always" de Spielberg en 1989, où elle joue un ange, est plus un clin d'oeil qu'un véritable rôle. Devenu une ambassadrice active de l'UNICEF, elle se consacrera à ses croisades jusqu'à la fin de sa vie. Elle nous quittera le 20 janvier 1993 à Tolochenaz, en Suisse, ville qui lui consacre un musée.

http://www.geocities.com/juliehye/audreyhepburn.html

http://ibelgique.ifrance.com/cinedestin/actrices/hepburnaudrey.htm